Le principe de précaution
Depuis l’ « affaire du sang contaminé » (1984), on nous a rebattu les oreilles avec ce concept de prudence :
Le principe de précaution.
Et on le met à toutes les sauces quand on s’aperçoit que quelque chose pourrait être dangereux pour les humains, les animaux, l'environnement, et mérite une certaine abstinence en attendant d’en savoir plus.
Il est vrai que le Pr Jean Bernard, alors sommité en hématologie et président du comité d'éthique, (et je possède l’enregistrement original de la grande émission de RTL de 1984), affirmait que le SIDA n’était pas plus dangereux qu’une grosse grippe !
Alors, quand un sujet peut mettre en danger la vie de toute une frange de la population, voire sa totalité, et même au-delà des frontières, pourquoi ne l’applique-t-on pas ?
Je veux parler du terrorisme.
On nous raconte, après les attentas, que telle personne était connue, surveillée, écoutée, fichée….
Pourquoi cette fameuse clause du « principe de précaution » ne s’applique-t-elle pas ?
Parce qu’on n’en savait pas suffisamment ?
N’est-ce pas, justement, le crédo de ce concept ? Éviter tout dommage en attendant d’en savoir plus ?
D’autres pays interviennent AVANT les dégâts.
Là, Fauconmesplix.. !
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