Les drones furtifs
JE NE COMPRENDS PAS… !!! Vite… ! Fauconmesplix… !
Depuis quelques temps, des « plaisantins » (on va dire ça comme ça, faute d’autre information) s’amusent à survoler nos centrales nucléaires et nos bases « sensibles » en baie de Brest.
Il semble qu’il y ait un point commun, non ? Les centrales sont
nucléaires et la base de nos sous marins de l’île longue sont...
nucléaires…
Faut-il prendre ces survols à la légère ?
Je ne crois pas. (voir :
https://fauconmesplix.forumactif.org/t22-l-independance-energetique)Je ne comprends pas qu’on puisse nous expliquer sur les ondes radios et télévisuelles, une
totale impuissance vis-à-vis de cette nouvelle mode d‘incursion, d’espionnage ou, pire, de repérage : Un officier, aux infos télé, expliquait que" la structure et la taille des ces petites machines les rendaient
INDÉTECTABLES à nos radars".
En 1939-1945, on aurait su le faire ?
Nos services de renseignements sont capables d’écouter nos portables, nos CB ou autres émissions ondulantes.
Notre Agence de l’Espace est capable de piloter Rosetta à une distance phénoménale… et, là, nous ne pouvons pas détecter un drone de 0,25 m² ?
Avez-vous remarqué le bruit que fait, dans un poste de radio, un téléphone portable posé à proximité ?
Les drones, comme tous systèmes radiocommandés, ont deux caractéristiques bien connues et incontournables :
- La portée de l’émetteur est limitée à quelques dizaines, voire, centaines de mètres ;
- L’émetteur « émet » sur des fréquences bien spécifiques, appelées "porteuses".
Nos services normalement compétents, savent « écouter » ces fréquences, et, tout d’abord, leur présence grâce à un système appelé « scanner », bien connu, par ailleurs, des radioamateurs... et de la police.
Un « balayage » des fréquences signale instantanément une émission significative d'une porteuse sur les fréquences qui nous intéressent, ou sur une autre liée à l’engin volant non identifié.
Il serait, même, possible, d’envoyer sur ladite fréquence, un brouillage pour couvrir celle du pilotage et conduire, immédiatement, le drone à sa perte.
Oui, en 1939-1945, les allemands savaient le faire pour repérer les émissions des résistants, un" cadre" juché sur le toit d'une camionnette...
Alors, on veut nous faire croire, qu’au XXI° siècle, nous sommes incapables de repérer une fréquence à 27 MHz*, émise à proximité d'un site « sensible » ?
Ou alors...engageons une cohorte de chasseurs de palombes! .. Pan!!!
Fauconmesplix… !!!! et vite.
* : Fréquence d’émission de pilotage des modèles réduits, drones, etc… (http://radio.pagesperso-orange.fr/FreqModelisme.htm).
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