Covid 19 Point complet au 27/7/21

 
Crédibilité :
Je n’ai rien à vendre, rien à prouver, rien à démontrer.
Les réseaux sociaux sont pleins de « spécialistes » qui savent tout et les médias abondent en informations alarmantes pour avoir de l’audience.
Les interviews des « vrais » scientifiques tournent souvent au saut d’obstacle où l’ on s’amuserait à voir tomber le professeur pour encourager, encore, la confusion : Ecoutez ce qu’ils disent, eux. C’est plus important que les commentaires des commentateurs de tout poil. Quant aux dirigeants de notre pays, ils essaient de faire comme ils peuvent avec tout cela.
Pour ma part, j’invoque un peu de crédibilité par ce que je suis : Je suis un patient souffrant d’un handicap à haut risque : Je ne fabrique pas d’anticorps. Plus à risque que moi, tu meurs !
A ce titre, je fais partie d’une association de patients où gravitent des personnalités scientifiques comme Alain Fischer et autres. Je partage des informations réelles, validées et confirmées avec ces personnes.
Biologiste moi-même, je sais analyser les éléments de ce débat.
Ne soyez pas effrayés, je ne vais pas faire un cours d’université, mais une synthèse ludique pour que tout le monde ait les éléments nécessaires à se faire sa propre opinion.
Je ne vous dirai pas « faites ceci ou faites cela », c’est votre liberté individuelle
Mais, je suis agacé d’entendre tout et n’importe quoi se propager par des soi-disant gens « bien informés »

Plan :
-          Qu’est-ce qu’un virus
-          Covid 19 ?
Mode de vie, Comportement, Propagation,…
-          Immunité :
Quelle immunité ? Immunités ? Immunité collective, Fin d’épidémie
-          Les vaccins :
Qu’est-ce que c’est ? Recherches et découverte de l’ARN Messager
Différents vaccins :Pfizer et Moderna, Astra-Zénéca et Johnson & Johnson, Autres.
Variants
-          Réactions aux vaccins :
-          Vaccination : suite et fin ?
-          Débouchés de  ce type de vaccin ARN Messager
-          Les chiffres et informations
-          Origines de la contamination
 
        I.            Qu’est-ce qu’un virus :
Tous les êtres vivants sont perturbés par des désagréments quotidiens dont certains abrègent la vie. On connaît les allergènes, les bactéries… et les virus.
Les allergènes sont, en général, inertes ; les bactéries vivent leur vie dans nos corps et sont autonomes ; les virus sont des être vivants comparable aux bactéries mais qui se transmettent par différentes voies et ne possèdent pas d’appareil reproducteur.
 
      II.            Covid-19 : Comportement :
Le SARS COV-2 (nom officiel) est un virus. Il doit infecter, en l’occurrence, nos corps pour pérenniser sa descendance.
Pour cela, il pénètre par nos voies aériennes supérieures et se réfugie dans nos poumons.
Là, il se dégotte une petite cellule bien sympa pour y faire son nid. Il entre à l’intérieur, s’installe,  se régale… puis, vient un jour où, l’âge aidant (le sien), il pense à assurer sa descendance. Mais, comme il ne possède pas d’appareil reproducteur, il va détourner celui de la cellule qu’il habite et donner naissance à sa petite famille.
(Quand je dis « le virus », il faut, dans la réalité, une charge virale de 1 à 5 millions de virus).
Les petits veulent vivre leur vie… Ils sortent, donc, et, les cellules d’à côté étant également, sympa, ils s’y installent. Par besoin d’un Stéphane Plaza viral. Ainsi, ce créent des « taches », ou « sites » et le « foyer » prend de l’ampleur.
A leur tour, chacun de ces « petits » fera de même et l’infection gagnera du terrain.
Certains « petits » seront expulsés avant d’avoir trouvé leur bonheur et se retrouveront dans le flux expiré de son logeur.
Alors, masque ou pas masque ?
Avez-vous déjà joué à la pétanque ? Par principe, un corps subit l’influence de l’attraction terrestre, la gravité, et …tombe. Le virus n’échappe pas à cette loi. Après, tout dépend de sa vitesse d’expulsion, comme aux boules… Le chien en reçoit plus que votre vis-à-vis… et vous le caressez… Le masque, oui pour deux raisons : Les contacts rapprochés de face, et les atmosphères closes qui se « remplissent » facilement de fine particules infectées.
 
    III.            Immunité : Ce qui permet à notre corps, à notre société, de se défendre :
a.       Il existe, essentiellement, deux types d’immunité dans nos corps :
                                                               i.      L’immunité cellulaire
                                                             ii.      L’immunité sanguine (sérique)
Curieusement, on ne nous parle dans les médias, que de l’immunité sanguine : les anticorps. Ce n’est qu’une partie de la bête.
En ce qui me concerne, je ne serais plus là depuis longtemps si mon immunité cellulaire n’était pas « excellente » : elle compense celle que je n’ai pas, la sérique.
 
b.      Immunité cellulaire :
Vous pensez bien que nos cellules ne vont pas se laisser faire aussi facilement par le premier virus qui passe !
Elles ont leur système propre : La Cytokine. La cellule ciblé se déchaîne contre l’assaillant et essaie de l’éliminer.
Cette activité, produit la fièvre (choc thermique pour éliminer l’intrus), et autres courbatures et bobos la tête… Quand les cellules sont nombreuses et très productrices de Cytokine, elles produisent des « orages » de Cytokine plus vifs et parfois, plus dangereux que le virus lui-même. Ces orages ont été évoqués au début de la pandémie comme responsable des admissions en réanimation et décès  associés.
La plupart des virus succombent à la cytokine. Le Covid 19 est un coriace !
Nous en reparlerons plus après (Vaccination)
 
c.       L’immunité sérique : Les anticorps.
Dans mon cas, j’en reçois toutes les semaines pour compenser ceux que je ne fabrique pas.
Ce sont des substances qui détruisent le virus.
Certaines « immunoglobulines » sont généralistes, d’autres sont spécifiques d’un virus ou groupe de virus. Par principe, un virus mute quand il se sent menacé, pour pas que les anticorps le reconnaissent et pour se disséminer plus vite.
Ces anticorps ne sont, donc, spécifiques qu’un moment. Le vaccin de la grippe change tous les ans.
La carte de visite d’un virus, comporte plusieurs « caractères » reconnus par les anticorps. Il faut de sacré changements pour que l’inefficacité du vaccin soit évoquée.
La fin de l’épidémie se produit quand le virus ne trouve plus d’hôte pour l’accueillir.
L’immunité collective existe quand un patient ne peut plus contaminer que moins d’un patient, ou dix moins de dix, cent moins de cent.
L’épidémie régresse. Il y a moins de nouveaux infectés que d’anciens, et ainsi de suite.
 
    IV.            Les vaccins :
Un vaccin est un produit qu’on nous injecte pour que notre système immunitaire réagisse et produise des anticorps spécifiques.
Le but est que, à la vue d’un virus particulier, les anticorps le détruisent sans autre sommation.
Jusqu’à présent ou presque, il n’existait qu’une sorte de vaccin pour ce faire. Les choses ont bien changé. On prenait un virus donné, on l’affaiblissait et, soi-disant devenu doux comme un mouton, on le réinjectait.
Cette technique est facile à mette en œuvre, pas chère mais les adjuvants sont nécessaire pour préserver le vieux virus et qu’il soit encore identifiable  par des anticorps, d’où quelques années de développement.
Certains virus ne sont pas compatibles avec cette méthode. A ce jour, il n’y a toujours pas de vaccin pour le Sida, par exemple.
En 1965, trois chercheurs français, Monod, Lwoff et Jacob, obtiennent le prix Nobel de médecine pour leurs recherches sur l’ARN messager. Ca ne date pas d’hier. NON, nous ne sommes pas des cobayes….
Cette technique n’a que très peu été utilisée car extrêmement coûteuse. Le vaccin contre l’hépatite B, obligatoire depuis des dizaines d’années, est basé sur cette technologie « membranaire ».
Il se trouve qu’une très puissante société de recherche travaille depuis plus de 15 ans, sur un vaccin contre le Sida qui serait basé sur l’ARN Messager. Il est actuellement en test clinique et sortira prochainement. OUF.
Comme on changerait la capsule au sommet d’une fusée, cette société a eu le réflexe de mettre l’ARN Messager du Covid 19 en haut de la fusée déjà prête pour le Sida (entre-autres). NON, on n’a pas développé un vaccin à la-va-vite, 15 ans d’études !
              
a.       Les vaccins disponibles :
                                                               i.      Pfizer et Moderna :
Ce sont deux vaccins identiques ARN Messager. L’ARN, reproduit en grande quantité, est injecté sans adjuvant, sans complément. Rien d’autre. Pas de virus.
Imaginer le jeu vidéo Mario Kart :
Vous connaissez tous le petit plombier en salopette bleue et casquette rouge ?
Eh Bien, on prend sa casquette, on en fabrique des millions et on les injecte au patient pour qu’il crée des millions d‘anticorps anti-casquette.
Dès qu’une casquette se pointe dans le jeu, pan, t’es mort ! C’est tout.
Inconvénient, le lot de casquette doit être gardé à -80°c…..
                                                             ii.      Alors, Astra-Zénéca comme Johnson&Johnson on eut l’idée de faire porter le chapeau – pardon-la casquette, à un autre virus inoffensif ou presque.
Ils ont mis la casquette sur le virus du Coryza (rhume de foins) ou équivalent pour ne pas avoir à stocker et transporter à -80°c.
La vaccination est donc, la même, mais certains se sont retrouvés avec les symptômes du Coryza… et voilà…
                                                            iii.      Les autres vaccins (ancienne technologie), Chinois, Spoutnik B, etc, ne sont pas distribués en France. Ils introduisent le vrai virus et, tellement manipulé, que l’immunité acquise est moins bonne.
b.      Les variants :
                                                               i.      L’ARN Messager contient des dizaines de caractères. A chaque mutation, l’ARN modifie quelques caractères. Aujourd’hui, moins de 10% du capital ARN est changé. Les vaccins ARN sont donc, encore tout à fait efficace et les anticorps reconnaîtrons encore la casquette pendant longtemps.
Si la casquette changeait trop, il faudrait moins de 3 mois pour refaire la collection automne-hiver des casquettes vaccinales et un simple rappel suffirait.
Aujourd’hui, sur 100 patients infectés, 96 ne sont pas vaccinés (surtout jeunes), 4 n’ont eu qu’une injection et …0 sont totalement vaccinés (B. Mégarbane, 23/7/21).
Le virus ne peut atteindre que les personnes qui peuvent le recevoir, sinon pan t’es mort !
Ne pas être vacciné, c’est se présenter comme cible privilégiée et vecteur.
Les personnes ayant eu le virus réellement, sont naturellement vaccinés spécifiquement pour la souche qu’ils ont hébergée.
Beaucoup ne le savent même pas.
Dans les hostiles à la vaccination, peut-être y en a-t-il qui n’en ont pas besoin !!!
Il existe au labo (prescription médicale) une analyse qui s’appelle ‘recherche d’anticorps spécifiques ». Avant de râler, vérifiez !
 
      V.            Réaction à la vaccination :
Comme toute substance étrangère introduite dans l’organisme, il y a une réaction ou plusieurs:
·         Si vous avez eu très mal au bras…. Soyez heureux ! Vous avez une bonne immunité cellulaire ! C’est la Cytokine qui vous a endolori
·         Si vous avez eu des syndromes grippaux avec l’Asta-Zénéca ou J&J, vous savez à présent pourquoi.
·         Si vous n’avez rien senti, c’est que, probablement, vous avez eu le virus sans symptômes les mois précédents…
·          
    VI.            La vaccination continue pendant les travaux :
a.       Les jeunes, moins sujets aux formes graves, ne se sentent pas concernés par cette opération. Ils restent vulnérables et vecteurs. Ils se rassemblent, font la fête, et propagent le virus sans en être affectés (sauf co-morbidités).
b.      Si, en plus des personnes fragiles, on avait vacciné les jeunes, la propagation aurait été plus limitée.
 
  VII.            L’avenir de l’ARN Messager :
Comme disait Voltaire, « de tout mal, il en sort un bien ».
Outre la prise de conscience de notre société, la créativité, les accents de solidarité et autres bénéfices sociaux et financiers mis en exergue çà et là, la science a démontré que l’ARN Messager était très cher mais très efficace et qu’il suffisait de changer la capsule de la fusée pour produire rapidement une réaction adaptée.
A ce jour, des études sont en fin de test pour guérir des maladies jusque là, incurable.
En théorie, (le prix sera autre chose), on pourra prendre la casquette des cellules cancéreuses de VOTRE cancer, pour réaliser un vaccin spécifique contre VOS cellules malades pour les éliminer, sans empoisonner le reste de votre corps et causer d’autres dégâts comme avec les chimios.  
        I.            Les chiffres :
a.       Pourquoi dire que 0,02% des personnes infectées sont décédées ? Plus rassurant et optimiste, je dirai que 99,98% des patients s’en sortent.
b.      Pourquoi, quand on annonce qu’il y a +50% de malades en réanimation, ce qui est énorme, ne dit-on pas qu’ils étaient 4 hier et 6 aujourd’hui. Ça fait moins d’audience ?
c.       Pourquoi parle-t-on de Réanimation ? On s’imagine que tous les patients dans ce service sont en train d’être sauvés en urgence vitale. En fait, ce service s’appelle ainsi, soit, mais on y place les patients à mettre sous surveillance électronique et personnelle intensive car les appareils sont là. Sur 10 patients en « Réanimation », peut-être un ou deux est en fin de vie.
d.      Co-morbidité : Le virus n’arrange pas les patients atteints de co-morbidité. Un bon nombre de patients déjà hospitalisés et surveillés, se sont vu aggravés et mis en soins intensif ou « réanimation », et plusieurs y ont fini leur vie. Lorsqu’on entend que X patients de plus sont en réanimations, on imagine rapidement, qu’ils viennent de rentrer et n’en ressortiront pas. C’est très loin de la réalité car, heureusement, plus de 95% des patients se rétablissent. Ces patient son t hospitalisés et leur pronostique s’aggrave avec le Covid.
e.      Le nombre de tests positifs au Covid Delta est de 80% ? Tant mieux, cela veut aussi, dire que l’ancien ne représente plus que 20%  et est en fin d’épidémie !
f.        Les tests positifs explosent ? Oui, la motivation n’est plus la protection mais la liberté. 96% des tests sont négatifs ou sans symptômes. Les zones côtières sont plus touchées car les vacanciers se font tester sur place. Ce n’est pas représentatif de l’épidémie en France.
g.       L’immunité collective ne sera atteinte qu’à 80% de vaccinés. Cela est faux, bien-sûr, car il faut tenir compte des personnes ayant guéri du Covid. Pourtant, c’est un objectif de confort et de sécurité car, si le taux d’incidence doit être inférieur à 1 (50%), la France n’est pas homogène et 80% permet d’avoir une couverture d’au moins 50% partout.
h.      Les atermoiements de l’état ne nous donnent pas confiance : J’ai entendu ça. Il y a quelques mois, personne n’avait entendu parler de ce virus. Au gouvernement, il n’y a personne compétente en la matière. Même O. Véran n’est que médecin.
Dans le comité médical, les membres (des sommités) n’étaient pas d’accord entre eux. J’ai même entendu dire par l’un d’eux qu’un virus, ça ne mutait pas. Les masque ne servent à rien (il n’y en avait pas) et ensuite, ils sont obligatoires…. Comment voulez-vous que des politiques s’y retrouvent ? Une autre équipe, une autre présidence, qui aurait pu trier le vrai du faux et prendre des décisions sur des connaissances aussi mouvantes ? De plus, l’état doit ménager la chèvre et le chou, se garder à droite et se garder à gauche. Je ne suis pas en mesure de jeter la pierre à quiconque. Je ne suis pas un de ces génies des réseaux sociaux…
 
Désolé d’avoir été si long. Je voulais être complet.
 
Maintenant, vous en savez plus pour prendre vos décisions et adapter vos comportements. A VOTRE sauce. Chacun doit veiller à sa peau et à celle des autres : C’est ça, une société.
 
Cordialement.
 
PS : Un petit mot sur les origines du Virus. J’ai entendu dire que les chinois auraient, même, équipé le virus de puces électroniques pour nous pister…. A ma connaissance, deux laboratoires travaillaient sur l’étude de chauves-souris particulières et de pangolins infectés par celles-ci. Ces chauves-souris (mammifères) seraient couvertes de dizaines de virus sans, pourtant, être malades.
Un laboratoire d’état semble être hors de cause, tellement la sécurité y est poussée. L’autre, un peu moins.
Pour avoir travaillé en laboratoire pendant de nombreuses années, le tube qu’on fait tomber, qu’on ramasse sans rien dire, ça arrive presque tous les jours. Le chef qui demande de ne rien dire sinon, il saute aussi, on connait… Alors, pourquoi pas….
 
Cdlt.