Vaccination à répétition
Tout d'abord, un rappel plus qu'important: Nous sommes
tous différents.
Nos organismes suivent les grandes règles de notre espèce, agrémentées des particularités ethniques, des variations géographique.... Bref, nous sommes tous uniques.
Aucun d'entre nous ne réagit pareil à une maladie, un médicament ou un vaccin.
Bien-sûr, il y a les grandes lignes qui sont les mêmes pour tous; c'est là dessus que s'appuient scientifiques et politiques pour affiner une stratégie le plus efficace possible: le plus grand nombre.
Au niveau individuel, ça se complique côtés symptômes, emprise, gravité, effets secondaires, ressenti...
Le vaccin Covid 19:
Comme le virus lui-même, il fait réagir nos cellules pour produire une réponse aux attaques spécifiques: les anticorps.
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Lors d'une première contamination, le corps se défend plus ou moins bien vis-à-vis de cet inconnu. Des anticorps spécifiques sont produits et le virus est vaincu. Ça ne fonctionne pas toujours...(HIV par exemple)
Cette première contamination peut être naturelle (attaque du virus) ou fausse induite par un vaccin (virus-like).
Les anticorps vont circuler "un certain temps" dans notre organisme.
Puis, faute d'attaquants, notre corps va réduire sa couverture: Pourquoi garder des défenses puisqu'il n'y a plus d'attaque?
Le taux d'immunoglobulines (anticorps) va donc, décroître avec le temps
Si le virus circule toujours, un rappel est nécessaire pour faire croire à nos cellules qu' IL est revenu, et maintenir une charge optimale de défense avant toute nouvelle attaque.
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Lors du rappel, nous fabriquons un nouveau stock de défenses.... qui, elles aussi, deviendront obsolètes au bout d'un certain temps.
Le problème, c'est que personne ne sait comment vous, vous vous situer, sauf à faire un dosage pondéral spécifique de vos dits-anticorps.
Un scientifique, un collège de savants, des instances politiques ne peuvent prendre en considération que "le plus grand nombre",
les statistiques.
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La 3ème dose, c'est elle qui met tout le monde d'accord: certains ont encore 40% d'anticorps, d'autres 85%.... Alors, en préconisant une 3ème dose, on est sûr de couvrir largement le niveau immunitaire de la population, à condition, bien-sûr, de ne rien changer aux gestes barrières.
Un délai de 6 mois? C'est statistique.
Une quatrième injection? on verra...
Un rappel annuel? on ne sait pas encore...
Nous verrons si, comme pour la grippe, une re-vaccination régulière annelle est nécessaire. C"est encore trop tôt pour tirer de conclusions.
Nous observons, nous apprenons.
Ce virus a fait s'unir le monde entier et chacun observe et applique les résultats statistiques des avancées.
Aujourd'hui, la quasi-totalité des personnes hospitalisées sont non-vaccinées:
"Une reprise de l'épidémie"? Je dirai plutôt, une expansion.
En effet, comment connait-on l'augmentation des cas?:
Par les tests pratiqués.
Qui se fait faire des tests?
Les personnes non-vaccinées.
Donc, il est logique que le pourcentage de cas positifs au sein d'une population non-vaccinée soit important.
Il n'est pas à 100% car beaucoup on eu des affection asymptomatiques et n'en savent rien. Ce n'est pas,forcement, qu'ils sont passé au travers...
Il est également logique que certains rares hospitalisés aient été vaccinés: Nous sommes
tous différents et, peut-être, leur taux résiduel était insuffisant ou que d'autres comorbidité (parfois inconnue du patient) existaient.
C'est la première fois que les populations de toute part, se sentent perdues ensemble dans un destin commun et sont solidaires. Un bien par un mal?
Sinon, Fauconmesplix....
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