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 Co-errance ou cohérence?

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MessageSujet: Co-errance ou cohérence?   Co-errance ou cohérence? Icon_minitimeVen 17 Juil 2020 - 19:17

Bonjour,

Je vais encore me mêler de ce qui nous regarde tous : notre survie. Car comme le Covid, nous devons lutter chaque jour pour cela.
Revenons-en au COVID :
Comme tous les virus, il nous pose problèmes, nous interroge… parce que nous n’y connaissons pas grand-chose.

Rappels :
Ce virus est une zoonose, c'est-à-dire que son ADN indique sont origine animale, comme pour la grippe aviaire ou autre. Ce n’est pas un virus « fabriqué ». C’est un « SARS » qui mute en permanence comme tous les virus du monde. Son ADN bouge en permanence pour s’adapter aux milieux et aux misères que nous lui ferions subir. Je cite La Dépèche : « Publiée dans la revue Cell le 2 juillet, leur étude montre que le Sars-Cov-2 G614 a presque complètement supplanté sa version antérieure, le Sars-Cov-2 D614. Cette nouvelle version serait devenue prépondérante autour de la mi-mars, c'est-à-dire à peine un mois après son arrivée en Europe. Ce qui explique peut-être pourquoi l'épidémie fut moins importante en Chine ».

Quelques idées reçues :
-          La « saisonnalité » du virus : Cela n’existe simplement pas. Ce n’est pas la chaleur de l’été qui le fait mourir. Pourquoi voulez-vous qu’il meure quand il fait 28° sur la plage, alors qu’il prolifère à 37° voire 40° dans nos corps. Juste un petit peu de jugeote.
On s’aperçoit bien, à présent, que cela ne se produit pas.
-          Peut-être voulait-on parler de « saisonnalité » de l’épidémie ? Alors, peut-être si l’on considère que les conditions de nos vies changent l’été (vie à l’extérieur, alimentation différente, etc) et que cela ne lui va pas.

Comment s’éteint une épidémie ? :
Pour qu’une épidémie s’ « éteigne » (je n’ai pas dit « meure »), il y a 4 scénarii :
-          Le virus s’est tellement affaibli qu’il ne fait plus de mal à personne. Cela ne l’empêche pas de rester présent, mais il est devenu inoffensif, peut-être en attendant d’autres conditions plus agréables : Il est épuisé. On le teste mais il n’a plus d’agressivité.
-          Le virus tombe sur une population hostile qui possède des « tueurs » de virus, les anticorps, une population immunisée. Il est réellement détruit et sa vie s’arrête là.
-          Le virus est « empêché » car des médicaments ne lui permettent plus de se nourrir, de se reproduire, et sa lignée s’arrête là.
-          Le virus est « empêché » car des « gestes-barrières » ne lui permettent plus de se propager, d’étendre son règne et sa carrière s’arrête là.

A. Le virus est affaibli :
Bien sûr, il existe toujours. On teste des populations entières et on en trouve des tonnes. On détecte des « Clusters » et il continue à se propager : OK. Mais, la détection, la propagation d’un virus devenu inoffensif, ce n’est plus une épidémie : Il n’y a plus de « malades » pour autant.
L’intérêt est de mieux le connaître car, si le R0 devint fort, et que ce virus a les moyens de muter à nouveau, mais dans le mauvais sens, il faudra « circonscrire » ces clusters et l’empêcher de nuire.
B. La population est immunisée :
Pour cela, il existe deux voies :
. L’immunité naturelle, acquise par la réaction de nos armes internes (lymphocytes,..) et notre organisme est prêt à recevoir comme il se doit, ce visiteur incongru qui a laissé de mauvais souvenirs.
Bien sûr, dans la population, nous ne sommes pas égaux en matière d’immunologie et certains ne produisent pas ou peu d’anticorps (immuno-déprimés) et ceux-là se doivent plus de prudence que les autres. A moins que le virus ne leur parvienne jamais, arrêté par d’autres porteurs de « machines à tuer » performantes. On parle d’immunité de groupe ou collective.
. L’immunité induite par une vaccination : On inocule un virus affaibli pour que notre système immunitaire crée des anticorps, les mêmes que précédemment, mais de manière programmée et globalisée.
Les immuno-déprimés en seront, là aussi pour leurs frais.
L’effet « immunité de groupe » ainsi orchestrée a toute les chances de venir à bout du virus et protéger les plus faibles.
C.      Le virus est empêché par des médicaments :
. En changeant son « milieu », le virus est inhibé et ne se reproduit plus.
Chloroquine et autres spécialités sont dans cette veine.
Mais, il ne faut pas oublier que changer son milieu, c’est modifier le nôtre. Et le remède peut être plus mauvais que la bête : Effets indésirables, rejets,… décès.
Si nous naissons tous « libres et égaux en droits », ce n’est pas le cas en médecine.
. Aujourd’hui, la science pharmaceutique ne nous donne pas de solutions.
D.      Le virus est empêché par des gestes barrières :
Les « gestes-barrières » sont des moyens « mécaniques » pour éviter de rencontrer le virus ou de le propager.
Là aussi, les remèdes sont, pour certains, très « cuisants »
. Le lavage des mains :
Un bon reflexe. La peau est une carapace infranchissable pour les virus et bactéries.
Se laver les mains est le meilleur moyen d’éliminer ce qui pourrait se trouver à la surface ou dans les plis, car ces mains sont nos moyens de vie privilégiés pour prendre, poser, gratter, écarter, caresser… Elles sont le relais idéal pour transporter et déposer un corps étranger, d’une personne à une autre, directement ou par l’intermédiaire d’un support.
Mais attention aux allergies. Et le lavage trop répété provoque des sècheresses, des craquelures, crevasses…dans notre armure. Rien n’est parfais.

. Le gel hydro-alcoolique ou lingettes alcooliques:
Eux aussi provoquent allergies, crevasses et on ajoutera brûlures.

. La distanciation :
Oui, bien sûr. Seul au monde, rien ne vous atteindra.
Si le virus veut s’attaquer à vous, il lui faudra jongler avec plusieurs critères :

  • Que la personne que vous rencontrez soit porteuse du virus
  • Qu’elle vous l’envoie en plein figure ou vous le dépose sur une partie ou un objet que vous toucherez ensuite.
  • Que ce transfert soit en quantité suffisante (charge virale) et quasiment immédiat. Il n’est quasiment plus dangereux, en laboratoire, après 5h à l’air libre ou, du moins, la charge virale résiduelle est trop faible.
  • Que vous n’alliez pas vous laver les mains ou vous désinfecter de suite après…
  • Bref, si vous êtes dans un lieu ou les gens regardent tous dans le même sens (stade, spectacle, cinéma, plage..) les « gouttes de Flügge » (postillons) émises iront dans votre dos, l’arrière de vos cheveux, et c’est tout.
  • La distance d’un mètre correspond à une trajectoire de gouttes finissant au niveau de votre ceinture (comme une boule de pétanque)…


. Le masque :

  •  Le port du masque est une protection efficace… pour les autres.Si tout le monde est masqué et pas vous, vous ne recevrez rien.
  • Le but est de faire barrière aux gouttes de Flügge, quelle que soit leur taille. Si quelqu’un vous tousse dessus, les gouttes resteront dans son masque et n’iront pas sur votre ceinture ou votre ventre.
  • Le port d’un masque homologué est limité dans le temps : En effet, avec l’haleine, le masque s’humidifie et

           1. il se colmate
           2. il devient un « cluster » humide et chaud où le virus peut s’épanouir à loisir et
                vous sur-contaminer, puisque vous re-respirez (ré-aspirez) dans ce masque.

  • Le masque est mal utilisé. Souvent, le nez dépasse… le masque baille sur les côtés, les utilisateurs le prennent à pleine main ou doigts alors qu’on ne doit toucher que les élastiques.
  • Enfin, une récente étude vient de mettre en évidence que plusieurs porteurs de masques rencontrent des vertiges : Comme pour le virus concentré à 37° derrière le masque, le CO2 (gaz carbonique) que vous expirez est ré-aspiré et crée une asphyxie.


Donc, parfois, encore, le remède peut être plus mauvais que le mal.
 
Alors, quelle est la bonne stratégie ?

La jugeote et la responsabilité de chacun.

Je me permettrais d’avancer un avis concernant une « deuxième vague » :
-          Il n’y a pas, à proprement parler, de deuxième vague, le virus étant différent, sauf s’il se trouve ré-importé ou ré-activé. On « fake » une deuxième vague en testant massivement un gisement jusqu’alors insoupçonné. Les appels et les visites auprès des médecins et hôpitaux reprennent en réactivant la crainte. Il n’y a pas plus de cas.
-          Une étude parue il y a quelque jours  (Visactu dont la Provence se fait l’écho aujourd’hui), nous apprend que la remontée su R0 est surtout due à l’afflux de personnes étrangères (travailleurs saisonniers, par exemple)
En effet, quand un cas suspect est détecté, on teste tout son espace social et, bien sûr, on trouve un cluster. Est-ce, pour autant, qu’il s’agit de personnes « malades » ? Non, mais porteuses, oui. Mais, de quel stade du virus (âge de mutations) ?
Si ces clusters sont détectés, isolés, et ne comportent pas de « malades » (nécessitant des soins hospitaliers), il y a fort à parier qu’il s’agisse d’une des versions affaiblies du virus qu’il faut tenir à l’œil, mais sans conséquences.
Le Dr. Parola ajoute « attentif mais pas inquiet", précisant que "les patients positifs, à ce jour, sont essentiellement des voyageurs, des gens qui reviennent de pays où l'épidémie n'est pas encore maîtrisée, des personnes qui sont liées au voyage ou aux transports, ou encore des cas contact de proximité familiale, ou vivant dans des conditions de promiscuité avec ces voyageurs revenant de l'étranger, essentiellement, pour nous, d'Afrique." (https://www.laprovence.com/actu/en-direct/6050876/coronavirus-la-region-paca-passe-en-rouge-sur-le-critere-du-nombre-de-personnes-contaminees-par-un-malade)
-          L’immunité collective est très faible. Trop faible.
-          Quand on vaccine une population, on inocule une version affaiblie du virus pour générer des anticorps.
-          C’est ce qui se passe naturellement aujourd’hui, avec des personnes contaminées par ce virus faible.
-          En arrivant sur des zones ou populations non protégées, le virus se régale et peut muter à l’envers. La sagesse voudrait qu’il ne trouve que des machines à tuer sur son passage.
-          Les anticorps détectent la membrane du virus (récepteurs), pas son ADN. Les anticorps créés reconnaîtraient donc, les variations du virus.

Pourquoi ne pas :

-          Limiter les gestes barrières aux clusters virulents et dangereux, sous contrôle sanitaire strict
-          Laisser l’immunité collective prendre le pas sur le stress et la panique. Le Pr. Juvin milite pour un déconfinement total en ce sens.

C’est sans doute, une opportunité médicale favorable : profiter d’un virus affaibli pour qu’il se fasse des ennemis. Laisser une population protégée seulement à 7% est dangereux.
On voit bien que les régions qui se « réveillent » sont celles qui ont été le moins touchées.
De la jugeote, simplement.

Doit-on continuer à errer dans ce marais d’incertitudes ou avoir un peu de cohérence médicale ?
Co-errer ou cohérents ?


On vous interprètera ça comme dû à l’insouciance d’un déconfinement trop rapide dans ces lieux moins sensibilisés : En fait, ces lieux n’ont pas acquis d’immunité jusqu’à présent, ils sont vierges… et ils trinquent. Heureusement que le virus a muté.
Maintenant, qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dis :

Une personne fragile reste une personne fragile.
Une personne fragilisée par des co-morbidités reste une personne fragilisée.
Une personne fragile qui s’ignore reste une personne fragile !

Et cela devant n’importe quel virus ou bactérie.

J’espère avoir apporté quelques réponses à vos questionnements, sinon,

Fauconmesplix… !
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